Notice: add_custom_background est déprécié depuis la version 3.4! Utilisez add_theme_support( 'custom-background', $args ) à la place. in /opt/web/clients/m/modem/lesdemocrates.fr/public_html/wordpress_lesdemocrates.fr/wp-includes/functions.php on line 3573

Notice: add_custom_image_header est déprécié depuis la version 3.4! Utilisez add_theme_support( 'custom-header', $args ) à la place. in /opt/web/clients/m/modem/lesdemocrates.fr/public_html/wordpress_lesdemocrates.fr/wp-includes/functions.php on line 3573
Les deux bergers de Sarkholand, et le troupeau perdu… | Démocrates Amérique du Nord
RSS Facebook Twitter
Moutons
 

Les deux bergers de Sarkholand, et le troupeau perdu…

Un ami vient de faire circuler le document ci-dessous qui me parait édifiant:

Il y a vraiment quelque chose de très gênant dans ce tableau. Je prends l’exemple de l’émission de Mr Ruquier « On n’est pas couche » pour laquelle France 2 semble avoir fait un calcul savant du temps de parole des candidats en fonction des sondages d’intentions de votes au premier tour. Si l’on accepte ce procédé, qui parait démocratique, comme un exemple de ce qui peut se faire, on s’aperçoit tout de suite du déficit important de François Bayrou à 7.8% du temps de parole mais 12-14% dans les sondages et même de Marine Le Pen à 9% dans ce tableau pour 16-18% dans les sondages.

Je ne veux pas croire que le jeu des deux bergers de Sarkholand puisse parvenir à faire avaler la pilule du bipartisme à un troupeau de Français! Même s’il y en aura toujours pour voter comme des moutons, j’ai bien l’impression que cette année les discussions vont plus loin, que les faiseurs de laine demandent des comptes. Et pour cause. Le président sortant n’a plus rien à prouver pour que l’on continue à ne plus lui faire confiance, tandis que le second berger qui pédale du Bourget à la City aller-retour n’en fini plus de se contredire, tout en continuant à nous assurer que ce qu’il avait voulu dire est finalement ce qu’il n’avait pas dit tout en pensant qu’il ne le ferait pas…

Chers amis, il n’y a rien d’inéluctable. S’il y a bien une chose qu’Internet permette de faire, c’est de se renseigner, ne pas se laisser servir la soupe, et aller chercher l’information.

Utilisez Facebook, dialoguez avec les blogueurs, allez sur les sites des candidats… posez des questions et ne laissez personne vous dire qu’il n’y a que deux choix possibles. Si vous choisissez l’un des deux, soyez certains de le faire en complète connaissance de cause. C’est tout le mal que je nous souhaite, car après cinq ans de gueule de bois, il ne faudrait pas se réveiller le 7 mai en ayant juste changé  de boisson.

 

Olivier

 

 

 

 

Les commentaires sont fermés pour cet article !